Au début c'était presque rien
Un petit point qu'on voit au loin
À peine dans la pénombre
Comme un soleil qui sème des ombres
J'avoue, je l'ai pas vu venir
L'éclat de ton sourire
Dans son écrin, dans son écrin
Au début c'était tell'ment beau
Tu viens, tu portes mes fardeaux
Je me sens plus légère
Comme un prisonnier qu'on libère
À qui on redonne des printemps
À qui on vole ses hivers
Et qui espère, et qui espère
Un petit point qu'on voit au loin
À peine dans la pénombre
Comme un soleil qui sème des ombres
J'avoue, je l'ai pas vu venir
L'éclat de ton sourire
Dans son écrin, dans son écrin
Au début c'était tell'ment beau
Tu viens, tu portes mes fardeaux
Je me sens plus légère
Comme un prisonnier qu'on libère
À qui on redonne des printemps
À qui on vole ses hivers
Et qui espère, et qui espère
J'aurais dû quoi, passer mon chemin
Je suis réduite en cendres entre tes mains
Toi, t'appuies encore, tu ne vois rien
J'aurais dû quoi, m'en tenir aux faits
Au lieu d'rêver à des contes de fée
Plus je te serre fort, plus tu n'fais rien
Je suis réduite en cendres entre tes mains
Toi, t'appuies encore, tu ne vois rien
J'aurais dû quoi, m'en tenir aux faits
Au lieu d'rêver à des contes de fée
Plus je te serre fort, plus tu n'fais rien
La chute est lente, lente, lente, lente
Et tu me hantes, hantes, hantes, hantes
Et je revois tous les instants de toi
Dans mes nuits lentes, lentes, lentes, lentes
Rien ne chante, chante, chante
Depuis que ta voix
Chante trop loin de moi, loin de moi
Et tu me hantes, hantes, hantes, hantes
Et je revois tous les instants de toi
Dans mes nuits lentes, lentes, lentes, lentes
Rien ne chante, chante, chante
Depuis que ta voix
Chante trop loin de moi, loin de moi
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